Ce qui n’est jamais dit sur la bande de Gaza : Terreur, Racket et Corruption, la vraie cause de la souffrance palestinienne ?
Intervenants :
- Pierre Rehov : né à Alger en 1952, Pierre Rehov est un reporter franco-israélien et un réalisateur à l’origine de ce nouveau reportage sorti le 3 novembre 2023.
- Les Arabes de Gaza, de Hebron et de Ramallah qui s’exprimer librement.
Ce qui a retenu notre attention :
- Entendre les arabes palestiniens s’exprimer librement sur la situation à Gaza
- Découvrir comment sont distribuées les sommes colossales envoyées à Gaza et pourquoi il reste tant de pauvreté malgré les milliards de dollars injectés.
- Selon le rapport de l’AMAN, agence gouvernementale jordanienne dont le rôle est d’enquêter sur le niveau de corruption dans les territoires palestiniens, la corruption (détournement des fonds publics, etc.) est la deuxième cause de souffrance parmi les Arabes palestiniens, l’occupation d’Israël ne venant qu’en 3e position (la crise économique venant en première position). La peur de représailles serait la principale cause qui empêche de freiner la corruption.
- Découverte de quelques somptueuses demeures des leaders palestiniens, et les artères luxueuses construites avec le détournement de l’aide humanitaire.
En résumé :
Le premier son de cloche que nous avons l’habitude d’entendre est celui-ci :
Quiconque a encore un peu de coeur ne pourra être que choqué de la situation sur la bande de Gaza : camp de concentration ou prison à ciel ouvert disent de nombreuses personnes.
Selon ce premier son de cloche, les premiers responsables sont Israël. Et automatiquement, sans autre explication, la colère et la haine se développent vis-à-vis des juifs et des israéliens.
En vérité, ce premier son de cloche mène à un mensonge, un vrai piège et ce reportage nous le prouve.
En effet, le journaliste Pierre Rehov nous invite à cette simple réflexion :
De nombreux Arabes palestiniens vivent dans la pauvreté et en souffrent dramatiquement malgré les milliards de dollars de l’aide internationale. Mais quand on parle de cette souffrance, il faut immédiatement se poser la bonne question : qui en profite ?
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